Si une armée vient camper contre moi, mon coeur ne craint rien. Même si la bataille s'engage, je garde confiance.

Ecoute ma voix suppliante quand je crie vers toi, Quand je lève les mains vers le fond de ton sanctuaire.

Pitié Dieu, aie pitié de moi, car je t'ai pris pour refuge : et je me réfugie à l'ombre de tes ailes, tant que dure le malheur.

Cache moi loin du complot des scélérats, loin des malfaisants qui se concertent.

Ils ne se privent de rien jusqu'à leur mort, ils ont la panse bien grasse.

D'un commun acord ils ont intrigué pour faire alliance contre toi.

A force de gémir, je n'ai plus que la peau sur les os.

Bénis le Seigneur ô mon âme, que tout mon coeur bénisse son saint nom !

Tu envoies ton souffle, ils sont créés, et tu renouvelles la surface du sol.

Certains s'égarèrent dans les solitudes par un chemin désert, sans trouver de ville habitée.

A sa parole se leva un vent de tempête qui soulevait des vagues.

Je lève les yeux ves les montagnes : d'ou le secours me viendra t'il ?

Jéusalem, la bien bâtie, ville d'un seul tenant !

Quand revint le SEIGNEUR avec les revenants de Sion, nous avons cru rêver.