Ses mains façonnent les acteurs d'un drame qui se joue sur la scène de la destinée humaine. Ses sculptures incarnent l'homme qui lutte, souffre et espère. L'inspiration est biblique, certes, et déterminante. Mais tout autant pourrait-elle trouver sa source dans le quotidien et le contemporain.
Pour Pierre de Grauw le sacré n'est que le miroir sublimé du profane où se posent déjà les grandes questions existentielles.
Michèle Lefrançois
Conservateur du Patrimoine
Musée des années 30
Boulogne-Billancourt